Les journalistes parlent au nom de la France, les journalistes parlent au nom des Français en permanence ; regardez la télévision, ils prennent toujours à partie les Français en disant les Français pensent que On parle de nous à coups de sondages en permanence, on est sondés en permanence, on sait que les sondages sont faux, et toute l’argumentation des
Movies/ TV: Foreign: 069458264136 Le Comte de Monte-Cristo Affiche promotionnelle pour l'édition illustrée de L'Écho des Feuilletons (1846) par Paul Gavarni et Tony Johannot 1 re secondaire; 2 e secondaire; 3 e secondaire; 4 e secondaire; 5 e secondaire; Familles de situations Le Comte de Monte-Cristo Film Streaming Vf Youwatch Titre original: Le Comte de
Chacund’entre nous s’est déjà retrouvé au moins une fois, au c?ur de la tourmente?Au nom de la vérité est une nouvelle fiction TV TIME. × . Conectarse. Join 10MM+ TV Lovers and Start Tracking!
Aunom de la vérité (intitulée initialement Wham Bam Scam) est une émission de télévision française quotidienne de réalité scénarisée diffusée depuis le 28 mai 2012 sur TF1.. Fiche
Lemanuscrit de la lettre d'Émile Zola au président Félix Faure pour dénoncer la machination contre le capitaine Dreyfus est publié samedi, 120 ans, jour pour jour, après sa publication dans
ttMX. ReplayDocumentaireAu nom de la véritéAu nom de la vérité - Machination amoureuse 11/01/2018 à 14h00 • 24min • 285 vuesRésuméChacun d'entre nous s'est déjà retrouvé au moins une fois, au cœur de la tourmente... "Au nom de la vérité" s'attache à des héros du quotidien en prise avec une décision capitale. Chaque épisode est une tranche de vie dans laquelle chacun peut s'identifier ou projeter sa propre famille. Ces moments qui dérapent, ces accidents de la vie, ces histoires secrètes qui encombrent notre quotidien... C'est tout l'univers de votre nouvelle série. Replay TV par chaîne Replays les plus vus Replays au hasard
Livres Les célèbres Cahiers noirs » du philosophe allemand commencent enfin à paraître en français, dans une traduction contestable. Article réservé aux abonnés Réflexions II-VI. Cahiers noirs 1931-1938 Überlegungen II-VI. Schwarze Hefte 1931 – 1938, de Martin Heidegger, traduit de l’allemand par François Fédier, Gallimard, Bibliothèque de philosophie », 538 p., 45 €. Réflexions VII-XI. Cahiers noirs 1938-1939 Überlegungen VII-XI. Schwarze Hefte 1938-1939, de Martin Heidegger, traduit de l’allemand par Pascal David, Gallimard, Bibliothèque de philosophie », 460 p., 39 €. Lire enfin en français les Cahiers noirs, ou Cahiers de travail », du philosophe Martin Heidegger 1889-1976, cinq longues années après leur publication en Allemagne, aurait dû constituer une bonne nouvelle. Cinq années au cours desquelles, faute d’accès au texte, le débat a surtout porté sur la quinzaine de passages explicitement antisémites, assimilant les juifs à l’empire de la machination » sur la vie, les rendant responsables de leur propre auto-anéantissement », leur prêtant une prédisposition accentuée » au calcul – passages lovés au cœur de cette masse de fragments que Heidegger désirait voir figurer, tels quels, à la fin de ses œuvres complètes. Ni journal de pensée » ni confessions Si cette découverte fut un choc, elle ne saurait effacer le puissant intérêt philosophique de cette masse d’écrits jusque-là inconnus 34 cahiers, rédigés de 1931 aux années 1970, qui occuperont les tomes 94 à 102 des Œuvres complètes. C’est l’ensemble de la démarche heideggerienne, depuis le tournant pris après la parution du maître ouvrage Etre et temps 1927 jusqu’à la mort du penseur qui se trouve documentée grâce à eux. Ni journal de pensée » ni confessions, et moins encore recueil de note ou brouillons, ces carnets forment une œuvre à part entière d’une dimension monumentale, une des routes de traverses ouvertes par Heidegger pour la pensée. Lire aussi Article réservé à nos abonnés Polémique. Heidegger contre toute évidence Eveillée depuis longtemps, la curiosité du public francophone devra cependant se satisfaire des deux premiers volumes intitulés Réflexions cahiers II à XI, le premier ayant été perdu. Ils correspondent aux années 1930 et aux tomes 94 et 95 de l’édition allemande. La période couverte coïncide avec celle dite du Rectorat », au cours de laquelle Heidegger, peu de temps après l’arrivée d’Hitler au pouvoir et jusqu’en 1934, prend la tête de l’université de Fribourg-en-Brisgau, en cours de nazification. Le philosophe récuse vite ce qu’il baptise nazisme vulgaire » – le biologisme et le racisme. Mais ce rejet s’opère au nom d’un nazisme spirituel » Il vous reste de cet article à lire. La suite est réservée aux abonnés. Vous pouvez lire Le Monde sur un seul appareil à la fois Ce message s’affichera sur l’autre appareil. Découvrir les offres multicomptes Parce qu’une autre personne ou vous est en train de lire Le Monde avec ce compte sur un autre appareil. Vous ne pouvez lire Le Monde que sur un seul appareil à la fois ordinateur, téléphone ou tablette. Comment ne plus voir ce message ? En cliquant sur » et en vous assurant que vous êtes la seule personne à consulter Le Monde avec ce compte. Que se passera-t-il si vous continuez à lire ici ? Ce message s’affichera sur l’autre appareil. Ce dernier restera connecté avec ce compte. Y a-t-il d’autres limites ? Non. Vous pouvez vous connecter avec votre compte sur autant d’appareils que vous le souhaitez, mais en les utilisant à des moments différents. Vous ignorez qui est l’autre personne ? Nous vous conseillons de modifier votre mot de passe.
Versets les plus Pertinents Éphésiens 415 mais que, professant la vérité dans la charité, nous croissions à tous égards en celui qui est le chef, Christ. Zacharie 816 Voici ce que vous devez faire dites la vérité chacun à son prochain; jugez dans vos portes selon la vérité et en vue de la paix; Éphésiens 425 C'est pourquoi, renoncez au mensonge, et que chacun de vous parle selon la vérité à son prochain; car nous sommes membres les uns des autres. Proverbes 1217 Celui qui dit la vérité proclame la justice, Et le faux témoin la tromperie. Psaumes 152 Celui qui marche dans l'intégrité, qui pratique la justice Et qui dit la vérité selon son coeur. Proverbes 87 Car ma bouche proclame la vérité, Et mes lèvres ont en horreur le mensonge; 2 Corinthiens 217 Car nous ne falsifions point la parole de Dieu, comme font plusieurs; mais c'est avec sincérité, mais c'est de la part de Dieu, que nous parlons en Christ devant Dieu. 2 Corinthiens 42 Nous rejetons les choses honteuses qui se font en secret, nous n'avons point une conduite astucieuse, et nous n'altérons point la parole de Dieu. Mais, en publiant la vérité, nous nous recommandons à toute conscience d'homme devant Dieu. Jean 1041 Beaucoup de gens vinrent à lui, et ils disaient Jean n'a fait aucun miracle; mais tout ce que Jean a dit de cet homme était vrai. Apocalypse 215 Et celui qui était assis sur le trône dit Voici, je fais toutes choses nouvelles. Et il dit Écris; car ces paroles sont certaines et véritables. Apocalypse 226 Et il me dit Ces paroles sont certaines et véritables; et le Seigneur, le Dieu des esprits des prophètes, a envoyé son ange pour montrer à ses serviteurs les choses qui doivent arriver bientôt. - Galates 416 Suis-je devenu votre ennemi en vous disant la vérité? Job 333 C'est avec droiture de coeur que je vais parler, C'est la vérité pure qu'exprimeront mes lèvres Topics on Dire la vérité Dire La Vérité Fiabilité Fidélité, dans les Relations Humaines Honnêteté Les Esclaves De Dieu Tromperie, Pratique de Vérité
Après la sortie du livre* de son fils, Benjamin Castaldi, Catherine Allégret avait gardé le silence sur ses relations avec Yves Montand. Aujourd’hui, elle parle, sans précautions ni périphrases. Qu’est-ce qui l’a poussée à tout dire ? Que s’est-il vraiment passé entre Montand et elle ? Réponses dans cet entretien exclusif, avant la sortie d’“Un monde à l’envers” octobre 2004, “Maintenant, il faudra tout se dire” Albin Michel, 2004. Psychologies Au moment de la sortie du livre de votre fils, Benjamin Castaldi, vous aviez accordé une interview à “Psychologies” révélant vos relations avec Yves Montand. Puis vous en aviez refusé la publication en nous disant J’ai décidé de ne pas parler. » Alors pourquoi ce livre, aujourd’hui ?Catherine Allégret J’ai fait preuve d’une grande naïveté. J’ai très sincèrement cru que la postface que j’avais jointe au livre de Benjamin était limpide. C’est “Paris Match” qui a mis le feu avec ses commentaires ignobles affirmant que j’avais été la maîtresse de Montand. Mais rien n’était très clair dans le livre de votre fils et rien n’était très clair dans votre postface. Ce flou laissait donc libre cours à l’interprétation. C’est vrai que je ne voulais pas préciser. Je pensais avoir été claire dans ma postface en parlant de cette douleur tristement à la mode depuis que les enfants qui ont survécu à une telle honte ont enfin le droit à la parole ». Mais il y a eu un tel déballage médiatique, et Benjamin et moi en avons tellement pris plein la tête, que je me suis dit Maintenant, il faut que j’y aille, il faut que j’écrive. Cette vérité, c’est la mienne, c’est à moi de la dire. » Alors j’ai écrit une espèce de journal de souffrance qui débute au moment de la sortie du numéro de “Paris Match” du 6 mai 2004, et qui s’achève le 12 août. Je n’aurai pas vu passer l’été ! Dans le livre de Benjamin Castaldi, il y a le chapitre XII qui a fait couler tant d’encre ; dans le vôtre, c’est la scène où… Je suis bien obligée de préciser puisque l’on m’a reproché de rester dans le flou. On ne peut pas continuer à parler par périphrases. Mais non, je n’ai jamais été la maîtresse de Montand ! Non ! Vous avez été une enfant abusée, c’est cela le bon terme ? Je déteste ce mot. Ce n’est pas mon sentiment. C’est un mot d’adulte, pas un mot d’enfant. J’avais 4 ans. Est-ce que ça s’est reproduit plusieurs fois ? Je ne sais pas, je ne saurais pas le dire. C’est resté derrière le rideau de ma mémoire. Je n’ai pas envie d’en savoir plus. Et après, plus tard ?Pas comme ça. C’était par intermittence, par allusions, des attitudes équivoques… J’étais toujours sur mes gardes, j’avais peur de me retrouver seule avec lui. Vous dites dans votre livre que vous avez tenté d’en parler à votre mère, Simone Signoret. Oui, j’ai tenté. Mais je crois bien que je n’ai été ni entendue ni crue. C’est peut-être ainsi que se forgent les premiers sentiments de culpabilité. Vous pensez que c’était clair pour elle ? Oui, bien sûr. A qui d’autre en avez-vous parlé ?A l’époque, personne. Et pourtant je suis sûre que beaucoup de gens, beaucoup de proches savaient et ils m’ont laissée seule avec ça. J’en ai parlé très tard, mais une fois que je l’ai dit, je l’ai dit beaucoup. Je crois que la première personne à qui j’en ai vraiment parlé, c’était le père de mon fils, j’avais 23 ans. Vous dites que ce comportement ne vous a pas empêchée d’aimer d’autres hommes. Comment l’expliquez-vous ? Curieusement, je ne suis pas sortie de là cassée, j’ai pu aimer des hommes, je ne suis pas devenue frigide. Parce qu’il y avait l’antidote, magique, l’autre Montand l’homme exceptionnel, généreux, tendre, drôle, talentueux, rare, unique… C’était le même homme qui me faisait rire et qui me faisait peur. La vraie douleur, c’est que par son attitude il me privait d’un père. Une douleur dont je ne saurai jamais guérir. Parce que votre propre père était absent ?Ma mère lui avait substitué Montand et je l’avais bien volontiers accepté. Mais je n’ai pas mis mes bras autour de son cou aussi souvent que j’aurais eu envie de le faire. Vous dites que vous lui avez pardonné. A quel moment ? Je vais vous dire une chose inouïe je crois que j’ai pardonné tout le temps. Je n’étais pas dans la situation de ces enfants abusés tous les soirs de leur enfance. J’étais une fillette dont le beau-père avait eu une attitude inacceptable quand elle était toute petite et plus qu’équivoque plus tard. Mais j’avais pour lui une passion filiale sans limites. Je lui en ai simplement voulu de ne pas me permettre de l’aimer comme un père. Heureusement, dans les dernières années de sa vie, tout est rentré dans l’ordre. Il a su réparer, il a fini par me dire qu’il était réellement, et pour toujours, mon petit papa ». Ce fut un cadeau bouleversant. Notre dossier s’intitule Faut-il tout dire ? ». Fallait-il en parler à vos enfants ?Je ne leur en ai pas parlé, je le leur ai jeté à la figure ! Chacun à leur tour, lorsque j’étais en conflit avec eux. Ça jaillissait, à bout d’arguments. Et ce n’est pas ce dont je suis le plus fière. Pourquoi avoir laissé votre fils en parler dans son livre ? Vous auriez pu lui dire Si quelqu’un doit en parler, c’est moi. » Benjamin a plus de 30 ans ! Mon rôle n’était pas de lui interdire quoi que ce soit. Et puis, peut-être ai-je lâchement profité de la circonstance. Je me suis engouffrée dans la brèche en me disant Voilà , ce qui est dit n’est plus à dire. Maintenant on peut passer à autre chose. » Et, en fait, ç’a été le commencement, un maelström médiatique. Alors il fallait que je dise ma vérité je n’ai pas été mal aimée, je n’ai pas eu faim, je n’ai pas eu froid, je n’ai manqué de rien, mais j’ai manqué de tout. Et ces mensonges, ces ragots, ces jugements à l’emporte-pièce, il y a un jour où il faut que ça s’arrête. Mais vous touchez à une icône !Je sais ! Mais s’il s’était appelé Albert Dugludu, tout le monde aurait été choqué, horrifié. Là , il s’agit de Montand, l’immense homme de scène, le héros de “L’Aveu”, le courage politique. Et alors, je n’aurais plus le droit de dire, de parler ? Je ne veux pas que la moitié de Paris s’imagine que j’ai été amoureuse de mon beau-père, et encore moins que j’ai été sa maîtresse. Vous avez hésité longtemps avant d’écrire ? Oui, j’ai hésité, je ne suis pas inconsciente ! Je me suis évidemment demandé pourquoi en parler, pourquoi remuer tout ça. Mais on me refusait le droit de tenter de guérir. C’est sans doute cette sensation d’abandon, cette rangée de dos tournés, ce mur d’indifférence, cette désapprobation hâtive et ces tentatives pour me bâillonner, chez certains, qui m’ont poussée à écrire… Ce livre a aussi une fonction thérapeutique ? Je ne sais pas. Tout va dépendre de la façon dont il sera reçu. Plonger dans ce passé m’a fait beaucoup de mal. Ce livre-là , je l’ai enfanté dans la douleur ! Vous savez, en dehors du besoin de mise au point, je voulais dire à ceux qui vivent ou qui ont vécu la même chose que l’on peut vivre avec. Si l’on réussit à pardonner, on peut vivre. C’est ce que j’ai fait. Même si la guérison définitive est impossible, même si les cicatrices ne s’effacent pas totalement. Qu’est-ce que vous redoutez à la sortie du livre ? Qu’on me le reproche sans même prendre la peine de le lire ! Avec ce livre, vous ne cherchez pas aussi à vous venger de tous ceux qui savaient ?Non. Le mot est mal choisi. Mais c’est une façon de mettre face à leurs responsabilités ceux qui sont venus me culpabiliser, qui ont prétendu que je me conduisais mal, ceux qui n’ont pas été consternés par les faits, mais par l’ébruitement des faits. A LIRE “Un monde à l’envers” de Catherine Allégret. Un livre écrit avec la rage d’une femme blessée par l’indifférence à ses souffrances Fayard, à paraître le 6 octobre. “L’Entre deux mères”de Catherine Allégret. J’avais déjà tout dit dans ce livre, mais sous forme de roman. » A l’occasion de la sortie d’“Un monde à l’envers”, cet ouvrage, paru en 1997, est réédité Fayard, octobre 2004.
Télécharger l'article Télécharger l'article Il peut toujours être utile de savoir comment forcer quelqu’un à dire la vérité. Cela peut vous aider dans de nombreuses situations, par exemple à la maison ou au travail. Même si cela demande un peu de pratique, de patience et d’assurance de votre part, vous pouvez y arriver et obtenir une meilleure compréhension de ce qu’il se passe. En montrant aux autres que vous êtes de leur côté, en démarrant la conversation de la bonne façon et en sachant reconnaitre les signes qui indiquent que quelqu’un ment, vous améliorerez vos chances de découvrir la vérité. 1 Évitez d’accuser cette personne. Vous allez réduire vos chances d’obtenir la vérité si vous donnez l’impression de l’accuser. Restez calme et gardez un langage corporel neutre. Si vous criez, si vous tapez du poing sur la table et si vous tenez avec les bras croisés, vous aurez l’air plus intimidant. L’autre personne sera plus encline à partager ce qu’elle sait si vous lui donnez l’impression de la comprendre. Asseyez-vous si possible, regardez-la dans les yeux et parlez-lui d’une voix douce et rassurante. Posez vos mains sur vos genoux, le long de votre corps ou sur la table et gardez une expression du visage neutre [1] . 2 Montrez votre empathie. Pour gagner la confiance de quelqu’un, vous devez lui faire comprendre que vous compatissez avec sa situation. Elle sera plus encline à vous parler si elle n’a pas l’impression que vous allez exploser. Faites comme si vous compreniez pourquoi elle agit de la façon dont elle a agi. Par exemple, imaginons que vous surpreniez votre fils en train de fumer avec ses amis. Vous pourriez lui dire tu nies que tu étais en train de fumer. Mais je veux que tu saches que je comprendrais si tu avouais que tu étais en train de fumer. Parfois, tes amis peuvent te forcer à faire des choses que tu ne ferais pas normalement ». En lui donnant l’impression que n’importe qui ferait ce que vous croyez qu’il a fait, il sera plus enclin à vous avouer la vérité [2] . 3 Montrez que la vérité n’est pas si grave. Les gens ont souvent peur de dire la vérité, car ils ont peur des conséquences. Cependant, si vous réduisez la gravité de la situation, cette personne pourrait être prête à vous dire la vérité. Vous pourriez lui dire ce n’est vraiment pas si grave. Je veux seulement savoir la vérité ». En la rassurant et en lui disant que ce qu’elle a probablement fait n’est pas si grave, elle va être plus à l’aise pour vous dire la vérité [3] . Cependant, vous ne devez choisir cette solution que si vous pensez vraiment que ce n’est pas grave. Par exemple, cela n’est pas une bonne solution si la personne en question a fait quelque chose qui pourrait lui attirer des problèmes avec la police. 4 Dites-lui qu’elle n’est pas seule. Donnez-lui l’impression qu’elle n’est pas la seule à être accusée. Si elle pense que d’autres personnes sont responsables et devraient en assumer les conséquences de la situation, elle va être plus encline à vous dire la vérité. Elle va probablement se refermer si elle sent qu’elle va devoir assumer les conséquences toute seule. Vous pourriez lui dire je sais que tu n’étais pas seul dans la situation. Il y a d’autres personnes qui sont responsables aussi [4] ». 5Offrez votre protection. Dites-lui que vous ferez votre possible pour la protéger. Faites-lui comprendre que vous êtes de son côté et que vous ferez tout ce que vous pouvez pour l’aider. Cela pourrait soulager ses peurs [5] . 1 Sachez faire la différence entre des soupçons et des accusations. La manière dont vous allez aborder la situation va dépendre de la quantité de preuves que vous avez pour étayer vos accusations. Vous allez devoir gérer des situations basées sur des soupçons forts différemment de celles où vous avez des preuves claires. Dans le cas de soupçons, il vaut mieux que vous les présentiez sans confrontation et que vous essayiez d’obtenir la vérité pendant l’interaction. Dans le cas d’accusations avec des preuves, vous devez les affirmer et présenter les preuves que vous avez. Si vous avez des preuves, l’autre personne aura beaucoup plus de mal à échapper ses responsabilités. 2 Partagez votre version de l’histoire. Présentez les faits que vous savez vrais en racontant l’histoire depuis votre point de vue. L’autre personne pourrait vous interrompre et corriger une partie de l’histoire si un des détails n’est pas vrai. Cela vous aidera à obtenir une confession partielle. Vous pouvez aussi changer sciemment une partie de l’histoire pour amener l’autre à vous corriger. Par exemple, vous pourriez dire tu es allé au bar hier soir », alors que vous savez qu’il est allé dans un lieu plus compromettant. Cela pourrait l’amener à vous corriger et à vous avouer la vérité [6] . 3 Changez la tournure des phrases. Posez la question plusieurs fois, mais de façons différentes. Faites attention si elle répète la même chose lorsqu’elle vous répond, car cela pourrait indiquer qu’elle a répété auparavant ce qu’elle allait vous dire. Elle pourrait aussi donner des réponses différentes, ce qui peut indiquer qu’elle vous ment. Vous pourriez aussi lui demander de vous raconter l’histoire en commençant par la fin jusqu’au début ou même de commencer au milieu. En changeant sa manière de raconter l’histoire, elle pourrait faire des erreurs, ce qui va vous indiquer qu’elle vous ment [7] . 4 Choisissez vos mots avec soin. Les mots que vous utilisez peuvent jouer un rôle important pour savoir si une personne vous dit la vérité ou non. Si vous l’accusez de manière indirecte, elle pourrait se refermer. En choisissant des mots moins durs, vous l’encouragerez à vous dire la vérité. Par exemple, vous pourriez utiliser le verbe prendre » au lieu de voler » ou bien passer du temps avec quelqu’un » au lieu de tromper ». Elle pourrait alors être plus encline à vous avouer la vérité si vous choisissez des expressions plus favorables [8] . 5 Bluffez si nécessaire. Le bluff est une autre tactique dangereuse, mais souvent efficace. Vous allez devoir faire une menace ou affirmer ce que vous pensez être la vérité, même si vous ne pensez pas à mettre en œuvre votre menace ou si vous n’avez pas de preuves. Votre bluff pourrait tenter cette personne à vous dire la vérité, car elle va avoir l’impression que vous avez découvert le pot aux roses ou parce qu’elle a peur des conséquences supposées. Par exemple, vous pourriez dire j’ai des témoins qui ont vu la scène du crime ». Cela pourrait être suffisant pour lui faire peur et la faire avouer. Vous pourriez aussi la menacer de vous rendre à la police ou à un représentant de l’autorité si cette personne ne s’arrête pas de mentir [9] . N’oubliez pas que les menaces verbales comme le bluff ne doivent être faites que si vous êtes sûr de la responsabilité ou de l’implication de cette personne. Essayez cependant d’éviter au maximum les menaces, car cela va la mettre sur la défensive et vous réduirez vos chances d’obtenir la vérité. 6Évitez les menaces physiques. Si une personne vous regarde dans les yeux et vous ment, il peut être difficile de contrôler votre réaction. Si vous devez faire une pause pour vous calmer, faites-le. Vous ne devez jamais agresser quelqu’un ou utiliser la force physique pour la forcer à vous dire la vérité. 1Observez les réponses à votre question. Les personnes qui mentent essayent souvent de ne pas répondre aux questions qu’on leur pose. C’est probablement le cas si elle change de sujet ou si elle refuse simplement de vous répondre. La plupart du temps, elle va parler de tout si elle n’essaye pas de cacher quelque chose [10] . 2 Écoutez sa voix. Le son et le ton de sa voix vont souvent changer si elle ment. Sa voix pourrait devenir plus aigüe, elle pourrait parler plus vite ou vous pourriez même entendre sa voix trembler. N’importe quel type de changement peut indiquer qu’elle ment. Vous devez quand même être habitué à la voix de cette personne pour reconnaitre les changements et savoir si elle ment. Commencez par poser des questions dont vous connaissez déjà les réponses et remarquez le son de sa voix lorsqu’elle vous répond. Passez à des questions dont vous ne connaissez pas les réponses une fois que vous avez une bonne idée du son de sa voix. Il est probable qu’elle vous mente s’il y a des changements dans sa voix [11] . Cependant, cela ne va pas arriver avec un menteur pathologique ou un sociopathe. 3 Observez son langage corporel. L’apparence d’une personne peut changer de beaucoup si elle ment. Lorsque les gens mentent, ils se sentent nerveux et leur corps s’adapte généralement à ce nouvel état. Même de petits changements de comportement peuvent indiquer un mensonge. Par exemple, elle pourrait essayer de cacher sa bouche ou ses yeux pendant qu’elle vous ment. Vous pourriez aussi remarquer qu’elle gigote, qu’elle déglutit plus souvent ou qu’elle s’éclaircit la voix plus fréquemment que d’habitude. Elle pourrait aussi éviter de vous regarder dans les yeux et rire nerveusement [12] . Références À propos de ce wikiHow Cette page a été consultée 54 262 fois. Cet article vous a-t-il été utile ? Abonnez-vous pour recevoir la newsletter de wikiHow! S'abonner
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