Nousne savons pas s'il est possible qu'une AVS ait un contrat de 35h, (vous pouvez questionner votre académie sur ce point car les pratiques semblent différentes d'une académie à l'autre), par contre l'Education Nationale peut nommer deux AVS pour accompagner votre enfant. Nous vous conseillons de recontacter l'enseignant référent afin qu'il veille à la mise en oeuvre du PPS de
Jesors de l'équipe éducative de mon fils. Nous faisons une demande d'AVS. L'enseignante référente a spécifié qu'en cas de refus d'AVS, il était possible de faire une recours et si la MDPH refuse toujours d'octroyer une AVS, il était possible d'aller au tribunal administratif.
Enapplication de l’article L. 16-10-1 du code de la sécurité sociale, afin de limiter la propagation de l’épidémie de 2019-n-Cov, les assurés qui font l’objet d’une mesure d’isolement, d’éviction ou de maintien à domicile ainsi que ceux qui sont parents d’un enfant de moins de seize ans faisant lui-même l’objet d’une telle mesure et qui se trouvent, pour l’un de
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Letiers-temps accordé par la MDA ou MLDS (organisme gérant les situations des enfants en situation de handicap) doit être respecté par les établissements scolaires. Ils n’ont pas le droit de refuser de mettre en place une salle individuelle et une AVS qui se consacre exclusivement à son rôle auprès de votre enfant. Encore une fois
4fgv5bu. Dans l’Aude, un enfant de 3 ans a été suspendu temporairement d’une maternelle en raison de son comportement violent. L’équipe pédagogique et l’inspecteur académique ont invité la mère à scolariser son fils dans un autre établissement. Pensez-vous que l’on puisse exclure un enfant de la maternelle et est-ce la meilleure solution ? L’école maternelle française accueille tous les enfants y compris ceux qui ont des difficultés. Lorsque le comportement de l’enfant le nécessite, le directeur de l’école réunit une équipe éducative » parents, enseignant, médecin, psychologue scolaire et soignants éventuels. Cette équipe est un outil institutionnel qui permet de faire circuler l’information et de croiser les regards autour d’un enfant en recherchant la plus grande adéquation entre les besoins de l’enfant et les solutions à mettre en œuvre. Nous pouvons, par exemple, demander aux parents de ne plus scolariser l’enfant pour une période temporaire en leur demandant de prendre contact avec le Centre d’Action Médico Sociale Précoce CAMSP, sans pour autant l’exclure de l’école. Par la suite, nous pouvons re-scolariser l’enfant sur des temps précis en présence d’une auxiliaire de vie scolaire. Avec des aides spécifiques et adaptées à son profil, l’enfant peut rapidement progresser. Quelquefois, la communication entre l’école et les familles peut être problématique. Les parents réagissent de façon excessive car ils se sentent jugés ou atteints de façon narcissique. Les conseillers pédagogiques ou l’inspecteur de la circonscription peuvent alors se déplacer pour tenter de médiatiser les possibles conflits entre la famille et l’école. L’accompagnement des familles est, dans tous les cas, indispensable à la prise en compte des spécificités de l’enfant. Il faut également rappeler que l’école maternelle n’est pas obligatoire mais elle est souhaitable. Tout doit ainsi être mis en œuvre pour que l’adaptation de l’enfant aux règles de la collectivité et aux apprentissages puisse se faire dans les meilleures conditions possibles. A 3 ans, comment peut-on être violent ? Quelle que soit la situation familiale, un enfant violent à 3 ans, ce n’est pas normal. Il faut automatiquement s’interroger sur le parcours de l’enfant. Pour cela, nous devons interpeller la psychologue scolaire et la famille afin de réfléchir sur l’origine de ce comportement. A 3 ans, il n’y a pas de volonté de violence. Si l’enfant a un comportement violent cela est dû à une pathologie et à une souffrance, ou à une atteinte au fonctionnement du groupe classe avec de possibles mises en danger de l’enfant lui-même ou des autres. Quels sont les outils de l’Education nationale ? Les outils restent le professionnalisme de ses membres, la capacité d’observation et de mise en lien des informations et des personnes. L’enseignant est le premier interlocuteur de la famille, le directeur de l’école accompagne la compréhension de la situation, le psychologue scolaire, l’infirmière et le médecin de PMI sont présents dans les écoles auprès des enfants en difficulté et de leurs familles. Ils apportent des éclairages spécifiques au sein de l’école mais peuvent aussi accompagner les parents vers des services de soins extérieurs. Ces derniers sont assurés par les départements de soins tels que le CMP ou le CAMSP. Pour les enfants violents, l’Education nationale dispose de peu de moyens. La diminution des postes de RASED, voire la disparition des maîtres G -qui intervenaient beaucoup dans des actions de prévention en maternelle- se fait aussi sentir de façon importante aujourd’hui. Ne faudrait-il pas aussi former les enseignants à la psychologie de l’enfant ? Il y a tout un travail à faire sur la formation des enseignants. Comme tous les enseignants, ceux des classes de maternelle développent une expérience pratique. Celle-ci devrait se compléter d’apports théoriques. Les enseignants devraient en effet avoir des connaissances sur les différents types de troubles auxquels ils peuvent être confrontés. Pour cela, les psychologues doivent intervenir en formation initiale et continue auprès des enseignants. Y-a-t-il suffisamment de psychologues de l’Education nationale ? Aujourd’hui, il y a près de 3000 postes de psychologues du premier degré dont 400 non pourvus. L’AFPEN revendique un psychologue scolaire pour mille élèves. Actuellement, je suis en charge de 1900 élèves. Des collègues en ont, quant à eux, 5000. Il y a une réelle problématique d’équité, d’accès à l’accompagnement et de qualité de travail. Photo page d’accueil ©pathdoc/
Par Jean-Paul M. “PROF ET PARENT EN COLERE je vois dans mon collège et dans celui de mon fils les mêmes aberrations pour le DNB blanc ! Lorsqu’un élève a une AVS désignée comme scripteur-lecteur, l’AVS est bien avec lui dans la salle d’examen, mais elle est utilisée pour la surveillance de la salle des tiers-temps ! Donc, impossible de lire pour l’élève et surtout d’écrire pour lui ! J’ai un élève qui s’est planté au DNB blanc dans mon collège, et cela n’a gêné personne ! Et aujourd’hui, c’est au tour de mon fils ! Même situation dans son collège ! Ils ne veulent pas qu’un prof de plus rate ses cours, pour ajouter un surveillant de plus, et ils profitent de la présence de l’AVS qui n’ose pas refuser. Ma femme va avec lui ce matin à 8h, et envoi d’un mail hier on n’était évidemment pas informés de ces modalités douteuses, mon fils a posé la question hier hors de question qu’il participe à un simulacre de DNB blanc s’il n’est pas seul dans une salle avec son lecteur scripteur, que l’établissement mette ou non un surveillant en plus. Et que dire des nouvelles épreuves ? On a rajouté des matières, bien, mais le DNB toujours sur 2 jours ! Donc, qui trinque ? Les tiers-temps ! Ils commencent avant les autres, et à 10h, pas de pause pour eux les autres ont une pause. Ensuite, ils finissent après les autres et n’ont que 30 min de pause pour manger, les autres ayant plus ! Juste un rappel ce sont les tiers-temps qui sont les plus fatigables ! Ils veulent augmenter le nombre de matières, qu’ils mettent le DNB sur 3 jours ! Mais non voyons, cela coûterait trop cher !
Le passage en classe de Première se décide au terme d'un dialogue entre vous et l'équipe éducative qui débute dès le mois de en juin que se décide le passage en Première. Le conseil de classe du 3e trimestre examine les résultats scolaires de votre enfant, ses progrès mais aussi ses souhaits d'orientation ; il propose le passage en classe de Première générale ou technologique et le choix d'une série pour la voie technologique. Le conseil de classe peut également émettre un avis pour une orientation en Seconde professionnelle ou en Première professionnelle si la famille en fait la qu'il y a accord ou non avec ce que vous avez demandé, le dialogue se poursuit ensuite avec le chef d'établissement.
Mon enfant est en CE1, il commence tout juste à lire, il n'a jamais pu bénéficier d'une aide RASED à l'école. Malgré ses difficultés en lecture et en écriture l'année dernière en CP, il n'a pas été inclus dans le groupe RASED lecture et je n'ai jamais pu savoir pourquoi de l'école. Cette année il a eu un bilan orthophonique qui indique une forte probabilité de Dyslexie - à confirmer en fin d'année -et ceci a permis de mettre en place un PAI. J'ai appris que la maîtresse RASED intervenait pour un autre garçon de sa classe actuellement mais que de nouveau mon fils ne bénéficie pas de cette aide. J'ai pris mon courage dans mes deux mains et j'ai demandé directement à la maîtresse RASED pourquoi, depuis 2 ans, mon fils ne pouvait pas avoir une aide RASED. La raison - "l'inspector académique de Caen ne permet pas une aide RASED aux enfants qui sont suivi par des orthophonistes!" Et comme l'aide pour les enfants en CE1 se termine avant les vacances de Février c'est trop tard! Je cherche à comprendre comment une aide destinée aux enfants en difficulté peut être refusée pour cette raison. Si on suit cette logique jusqu'au bout - les enfants qui ont le plus besoin ne recevront jamais cette aide, rare sont les enfants dyslexique qui ne sont pas suivi pas un orthophoniste de nos jours - et les enfants ayant de difficultés moins sévères qui ne nécessitent pas d'aide externe en auront droit. Est ce que cette pratique est assezcourante en France ou bien particulière à la Basse Normandie? Quelles sont les arguments que je peux utiliser pour essayer d'obtenir cette aide pour mon fils qui en a vraiment besoin. Message édité par Jemima / 16-02-2012 2224 Quote Topic starter Posté 16/02/2012 1123 nefertiti Membre de bonne réputation Bonsoir, C'est sans doute pour cette raison que, nos enfants n'ont jamais eu le droit au RASED !!! Nous sommes en Haute-Normandie. paf Et peut-être aussi pour le refus d'AVS et de matériel pédagogique !!! paf Merci pour cette info !!! Là , franchement, pour ma part, aucune idée. bientôt et surtout bon courage.... Néfertiti RépondreQuote christelle Membre estimable mon fils a commencé les sceances d orthophonie il a arreté l orthophonie que cette année etant en apprentissage lorsqu il etait en cp a partir du CE1 son institutrice ma convoqué pour me demandé la permission de parlé de lui au RASED se que j ai accepté, de la , le mardi matin et le jeudi apres midi le maitre E ainsi que la psycologue du RASED venait chaqu une leur tour pour mon fils , cela la bien aidé, nous sommes en poitou charente RépondreQuote tout dépend de la politique départementale, des budgets et de la pression des associations. L'aide est accordé de façon très aléatoire sur l'ensemble du territoire. GENE RépondreQuote Auroredyspraxie Membre de bonne réputation Bonsoir, Ca dépend aussi de la formation du maître de Rased. Il n'est pas forcément formé pour les dyslexiques si c'est un maître G par exemple. En ce qui nous concerne, il n'y a pas de directives dans ce sens sur notre département. Par contre, ce n'est pas parce qu'un enfant n'a pas de suivi qu'il n'a pas des troubles plus sévères qu'un enfant qui a un suivi extérieur. Des enfants, dys de toute sortes, voir autistes, disons TED qui n'ont pas de suivi, il y en a des tas. les raisons sont multiples et variées, inconscience des parents, incapacité dison sociale des parents quand on est comme nous en mileu très rural. Je ne trouve pas anormal, si c'est dans le but de compenser les carences familiales que ces enfants soient priviliégiés par rapport à ceux qui n'ont pas cette chance. Il peut y avoir aussi une prise en charge du Rased, le temps de mettre en place les suivis extérieurs ça peut permettre aussi de convaincre les parents de la nécessité d'un suivi. Vraiment, je ne crois pas que tout ceci se mesure en terme de gravité des diagnostics confirmés. D'une manière générale, on pourrait penser qu'un enfant autiste, le mot fait tellement peur, est dans une situation plus grave qu'un dyslexqiue, troubles tout de même mieux connu maintenant et pourtant des autistes peuvent aller à l'école sans AVS sans que cela pose souci. RépondreQuote cbestern Membre de bonne réputation comme toujours dans l'éducation national, on joue a pile ou face avec nos enfants, sans rien nous dire bien sur, il faut être tres vigilant, ne jamais croire un professeur ou une école, faire des allez retour a la préfecture car le systeme est tellement bourré de faille qu'on se retrouve jamais du bon coté de la barriere sauf bien sur si vous êtes fonctionnaire car entre gens du serail... RépondreQuote Je ne dirais pas que la situation d'un autiste est plus grave que celle d'un dyslexique je parle de situation de handicap. L'autisme fait peur, donc c'est le rejet ou une réelle prise en charge, tout dépend du département dans les Yvelines, tout autiste a son AVS dans le système ordinaire, il ne saurait en être autrement. La dyslexie par contre est prise à la légère, comme un trouble pas très handicapant, car invisible et mis sur le compte d'un manque de travail. Mais que dire d'un enfant qui ne peut absolument pas lire quoi que ce soit, ni même papa ? D'un enfant qui ne peut absolument pas structurer une phrase, ni aligner 2 lettres pour écrire un son ? Comment peut-il évoluer dans le systèmpe scolaire ? Il ne peut pas. Dans la société, il sera au niveau des illéttrés, sans espoir d'amélioration par une alphabétisation. C'est un handicap très grave, d'autant plus qu'il est incompris et minimisé Ce handicap mène encore trop souvent à la dépression, au suicide, à la délinquance, au chômage, à la psychose et aux addictions diverses s'il est minimisé, non pris en charge et si la scolarité n'est pas aménagée. Ce n'est pas moins grave. RépondreQuote Auroredyspraxie Membre de bonne réputation Bonsoir, Je n'ai pas dit que c'était moins grave chaque est particulier en, matière de prise en charge et ce n'est pas une question de diagnostci à mon avis. RépondreQuote
Des parents d'élèves handicapés de Plabennec, Miniac-Morvan et Athée-sur-Cher avaient attaqué l'Etat à propos du financement des accompagnants pendant les temps périscolaires. Par Rédaction Saint-Malo Publié le 21 Avr 22 à 1755 mis à jour le 21 Avr 22 à 1821 A Miniac, un élève de maternelle ne bénéficiant pas d'AVS avait été exclu des activités périscolaires en 2018. ©© Illustration M-B / 14actuLa cour administrative d’appel de Nantes a donné en grande partie raison à l’Etat dans le conflit qui l’opposait à des parents d’élèves handicapés de Plabennec Finistère, Miniac-Morvan Ille-et-Vilaine et Athée-sur-Cher Indre-et-Loire au sujet de la prise en charge financière des accompagnants pendant les temps nationale estimait en effet que la rémunération des auxiliaires de vie scolaire AVS des enfants relevait des collectivités qui organisaient ces activités. Une décision illégale », selon les parents des deux élèves concernés à Plabennec Finistère, puisque les activités périscolaires participent indubitablement à l’éducation des enfants » selon parents du jeune N. et ceux de L. – qui se partageaient les deux mêmes AVS à l’école primaire du Lac de Plabennec Finistère – avaient d’ailleurs été les premiers à saisir la justice administrative il y a cinq ans. Soutenus par la commune, ils avaient obtenu gain de cause devant le tribunal administratif de Rennes en 2017, puis une première fois devant la cour administrative d’appel de Nantes en 2018, mais avaient été désavoués par le Conseil d’Etat en plus haute juridiction administrative française avait alors sommé les juges nantais de revoir leur copie à la lumière de son analyse Miniac-Morvan, un élève handicapé excluLe cas de figure du jeune Paul *, à Miniac-Morvan Ille-et-Vilaine, était quelque peu différent cet élève de maternelle à l’école privée avait été exclu temporairement » de la cantine scolaire et du centre de loisirs en février 2018 par le maire de l’époque, à la suite d’incidents ».Ses parents avaient alors obtenu le droit de bénéficier d’un auxiliaire de vie scolaire AVS devant la Commission des droits et de l’autonomie des personnes handicapées CDAPH d’Ille-et-Vilaine en avril 2018. Pour autant, le maire de Miniac-Morvan avait refusé de réintégrer » l’enfant sur les activités périscolaires à la rentrée suivante de septembre 2018, relève la Athée-sur-Cher Indre-et-Loire, Aurore s’était elle heurtée en mars 2020 au refus des services départementaux de l’Education nationale de prendre à leur charge la rémunération de l’assistant de son fils, en dépit d’une décision favorable de la CDAPH d’ en ce moment sur Actu Le service public de l’éducation … veille à l’inclusion de tous les enfants, sans aucune distinction », édicte pourtant le code de l’éducation, dans ses principes généraux. Pour favoriser l’égalité des chances, des dispositions appropriées rendent possible l’accès de chacun … aux différents … niveaux de la formation scolaire. … L’Etat met en place des moyens financiers et humains nécessaires à la scolarisation en milieu ordinaire des enfants … handicapés. »L’Etat devait s’assurer de la continuité de l’aide » Il appartient à l’Etat de prendre en charge, pour le temps scolaire, l’organisation et le financement de cette aide individuelle, le cas échéant en recrutant un accompagnant », retient donc la cour administrative d’appel de Nantes dans quatre arrêts en date du 15 février 2022 qui viennent d’être rendus lorsqu’une collectivité organise un service de restauration scolaire ou des activités complémentaires aux activités d’enseignement …, il lui incombe de veiller à assurer que … les élèves en situation de handicap puissent … y avoir effectivement accès », revanche, il revenait bien à l’Etat de s’organiser avec les communes pour assurer la continuité de l’aide » apportée aux enfants handicapés entre les temps scolaires et les temps périscolaires. En laissant [aux parents] le soin de se rapprocher de la commune … pour organiser l’accompagnement de leur fils … sans intervenir activement …, la directrice académique des services de l’Education nationale du Finistère a méconnu les obligations dont elle avait la charge », en déduit la cour administrative d’appel concernant les enfants de nouvelle loi entrée en vigueur entre-tempsPour cette raison, l’Etat devra verser une somme globale de 2 000 € de frais de justice aux parents des deux élèves concernés. Même chose pour les parents du jeune Paul à Miniac-Morvan. Le droit à l’éducation [est] garanti à chacun quelles que soient les différences de situation », rappelle la cour administrative d’appel de Nantes. Le caractère obligatoire de l’instruction s’appliquant à tous, les difficultés particulières que rencontrent les enfants en situation de handicap ne sauraient avoir pour effet … de les priver de ce droit. »Désormais, les AVS peuvent être recrutés conjointement par l’Etat et par la collectivité » selon la nouvelle version du code de l’éducation tirée de la loi du 26 juillet 2019 pour une école de la confiance », note au passage la cour administrative d’appel de Nantes dans les deux arrêts concernant les enfants de Plabennec. Mais elle n’était non applicable au présent litige » pour ce qui les concernait, puisqu’elle avait été votée postérieurement aux décisions PressPepper* Prénom modifiéCet article vous a été utile ? Sachez que vous pouvez suivre Le Pays Malouin dans l’espace Mon Actu . En un clic, après inscription, vous y retrouverez toute l’actualité de vos villes et marques favorites.
les parents peuvent ils refuser une avs